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Atelier : création du secteur formation

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Atelier création d’un secteur formation
Congrès de l’ICEM Caen 2013- 22 août 2013
 
Présents : Alain Buekenhoudt, Jean-Charles Huver, Nicolas Claveau, Catherine Chabrun, Christian Deligne, Catherine Frachon, Céline Gapenne,  Sybille Grandamy, Joëlle Martin, Cédric Prévot, Julien Rouge, Florence Saint Luc
 
Présentation d’une carte heuristique
Une carte heuristique est pré-construite pour gagner du temps, sur la base de questions : pour quoi, qui, pourquoi, comment, pour qui, à partir de trois sources :
-          Laurent Ott
-          Document Pour la création d’un secteur Formation à l’ICEM
-          Secteur adultes.
 
*Qui ? Les personnes concernées par la formation :
- interne, accueil de stagiaires dans les classes,
- externe : actions de formation à destination d’institutions variées (ESPE, formation initiale et continue des enseignants et des adultes, travail social, animation, écoles professionnelles, …)
 
*Pourquoi : intégrer les ESPE, répondre aux besoins de formation au sein de l’ICEM et vers l’extérieur…
 
* Comment : 1/ axe autonome avec secteurs adultes apprenants (alphabétisation, formations aux premiers savoirs…  
2/ enseignement supérieur : pédagogie universitaire,
3/ formation des enseignants et des formateurs (qui interviennent avec des publics adultes)
Communication :
-          pas une seule liste d’échanges, une liste générale avec le transversal et des listes spécifiques ;
-          Création et animation de blog(s) ;
-          Envoi d’articles pour le Nouvel Educateur ;
-          Création d’une revue électronique internationale sur la formation avec comité scientifique, résumé en anglais, possibilité de rédiger en espagnol, anglais, français, et rédaction d’articles pour le Nouvel Educateur, à la demande de Denis Morin, Olivier Francomme et Florence Saint-Luc.
Actions de formation :
Se réunir, organiser des stages.
SCOOP (proposition de Laurent) faire de la formation action dans des centres sociaux, animateurs…
 
*Pour qui : adultes en difficulté. Quelle méthode utilise-t-on en ateliers, en stages, pour tout militant Freinet, auto-formation, co-formation – s’observer, ne pas s’exclure en tant que formateur d’enseignants…
 
*Pour quoi : il faut réfléchir sur les finalités, quelles valeurs, que porte-t-on ?
Il s’agit de (se co-)former sur les bases des valeurs et finalités de la pédagogie Freinet, afin de pouvoir les mettre en œuvre dans le cadre de la formation, dans des contextes variés,  et/ou pour faire vivre et connaître la pédagogie Freinet. Le secteur formation permet de travailler pour développer les liens entre théorie et pratique, de façon isomorphe, c’est-à-dire cohérente avec les valeurs portées par la pédagogie Freinet, en articulant éducation, formation et recherche.
 
Des échanges autour de la création du secteur formation
 
Quel est l’objet de ce secteur formation, on forme à quoi ?
Il est nécessaire de mettre en place une attitude réflexive pour les militants : le secteur formation pourrait les aider. Il est utile de centraliser des pratiques sur une plateforme. Il faut proposer un stage transversal pour se former à la recherche action.
 
Quelle place du secteur formation par rapport aux autres secteurs, par rapport au LRC ?
Le lien avec le LRC existe mais le secteur formation souhaite former à la recherche-action, pas à la recherche.
 
Qui définit la parole de l’ICEM ?
 Ce n’est pas un secteur à lui tout seul – il y a donc une réflexion à partager. Même si l’on ne définit pas la parole de l’ICEM, on peut être parfois amené à représenter l’ICEM. Il n’y a pas de problème  de légitimité, il y a un besoin déjà émis d’un secteur formation.
Il faut commencer à faire le secteur à partir d’actions concrètes, puis ensuite son fonctionnement sera comme celui des autres groupes à l’ICEM.
 
Missions souhaitables, sur le long terme : Quelles différences entre le secteur formation et la formation dans les secteurs ?  Il doit permettre de recenser, de mutualiser les pratiques de formation et d’organiser la co-formation grâce à des outils de communication et à l’organisation de stages et de rencontres.
 
Conclusion : L’existence du secteur est une plus-value, elle propose une transversalité.  Cela permet d’avoir une parole en termes de formation face aux ESPE, dans l’enseignement supérieur, de travailler la question de la formation interne et externe à l’ICEM, d’établir des partenariats institutionnels. Le secteur doit permettre de recenser ce qui se fait déjà en formation à l’ICEM afin de (faire) reconnaître cette expertise.
 
 Florence Saint-Luc
responsable du secteur formation
 

 

 

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